A l’époque des machines à écrire, les secrétaires expérimentées tapaient si vite qu’il arrivait souvent que la machine se bloque. Cela arrivait surtout quand elles tapaient simultanément sur deux touches voisines. Afin de pallier cet éventuel blocage, il fallut réfléchir au meilleur ordre possible des caractères sur la machine.
En éloignant les lettres les plus souvent voisines dans l’écriture, la disposition QWERTY permit dès les années 1860 d’éviter ces problèmes. Elle est la version prévue pour la langue anglaise. Vinrent ensuite la disposition QWERTZ pour les langues germaniques, puis la disposition AZERTY pour la langue française avec une variante belge. On donne à ces dispositions le nom composé des six premières lettres du clavier.
La disposition AZERTY est critiquée, encore aujourd’hui, car elle n’est pas pratique alors qu’elle ne se justifie plus : les claviers d’ordinateur ne se bloquent pas. Ainsi on voit régulièrement apparaître des propositions mais sans qu’elles connaissent grand succès. Pour n’en citer que quatre : Zhjayscpg (1907), Claude Marsan (1976), Dvorakfr (2002) et la bépo (2005).
dimanche 29 septembre 2013
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